Nous sommes pleines de colère et de tristesse en découvrant cette nouvelle agression d’une violence sans nom.
Hier, une femme a été poignardée en pleine rue, sous les yeux de sa famille, par un homme. Son seul tort ? Elle portait un foulard. L’islamophobie BLESSE et TUE, tous les jours.
Il sera toujours temps demain de réagir au traitement médiatique à deux vitesses des attaques terroristes islamophobes jamais désignées comme telles, de dénoncer l’obstination avec laquelle ces mêmes médias s’empressent de justifier ces actes en masquant le racisme des agresseurs derrières des motifs psychologiques (le criminel serait « dépressif » apprend-on), et de s’indigner face à l’absence totale de réactions étatiques.
Mais pour l’heure, toutes nos pensées vont vers cette sœur, actuellement hospitalisée dans un état grave, vers ses proches, ses enfants en bas âge, et vers toutes celles qui vivent au quotidien l’insécurité dans un pays qui refuse d’ouvrir les yeux face à la violence qu’il impose aux femmes musulmanes.
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